mercredi 27 novembre 2019

Virage à 180º

La vie nous réserve de ces surprises, qui parfois, ne sont pas vraiment des surprises.  Ce sont juste l'aboutissement de réflexions et de souhaits souvent inconscients.

Depuis plusieurs années, je désirais m'installer à la pleine campagne, revenir aux sources et à la tranquillité.  Je rêvais aussi de travailler de la maison, de ne plus avoir à me précipiter dans la tourmente quotidienne de la circulation sur l'autoroute, de la course contre la montre pour être à l'heure au bureau.  J'en avais marre de courir partout comme une poule pas de tête, la langue à terre, les crampes au ventre tous les matins et lessivée raide à 21h.  Mais quand t'as pas les moyens, tu t'organises avec ce que tu as.  

Entre le travail et la famille, une autre situation se dessinait à l'horizon.  Mes parents vieillissaient discrètement, sagement, sans se plaindre et peut-être avec un brin de fatalisme dans le coeur.  Quand ma Maman a commencé à vivre avec de sérieuses difficultés de santé, mon conjoint et moi avons pris l'habitude de venir les visiter régulièrement, tous les weekends.  Sauter une fin de semaine était source d'angoisse, pour moi et sans doute pour mes parents aussi, même s'ils ne se plaignaient jamais.

Le vieillissement, ce n'est pas toujours une évidence.  C'est sournois cette petite bête-là!  Ça s'installe tranquillement, mine de rien et un beau jour, ça frappe!  Et parfois, ça frappe plus fort qu'on ne l'attend. 

Avec le vieillissement, on voit venir aussi l'obligation de prendre des décisions difficiles.  Partir en maison de retraite?  Encore faut-il en avoir les moyens!  Rester à la maison jusqu'au bout?  C'est quoi "jusqu'au bout"?  Se débrouiller comme on peut jusqu'au jour où tout basculera vers le CHSLD? Après discussion, nous avons décidé d'emménager chez mes parents, pour les accompagner au quotidien, selon leurs besoins.

Plus facile à dire qu'à faire.  Maison mise en vente.  Planification des travaux d'aménagement d'un logement au sous-sol de la maison paternelle.  Et attendre que la maison soit vendue.  Quitter le boulot (déchirement pour moi, soulagement pour mon conjoint).  Et nous l'avons fait; le virement à 180º.  

Nous avons tout laissé, tout quitté.  Je travaille maintenant à temps partiel pour l'entreprise que je quittais.  Une bénédiction!  En fait, après avoir remis ma démission, mes employeures m'ont proposé de conserver un poste en télétravail. Et j'adore ça!  Souplesse d'horaires, élimination du stress de la route sous n'importe quelle condition, tranquillité de mon environnement.  Et en prime, je suis près de mes parents, à la maison.  Je peux à la fois gagner ma vie ET être présente en tout temps pour remplir le rôle que j'ai endossé volontairement; être proche-aidante.

Nous avons débarqué, mon conjoint, ma fille et moi-même, avec nos bagages, notre ménage et tout notre amour pour deux êtres fiers de leur autonomie et qui tout doucement, perdent de la vitesse.

Ce n'est pas toujours facile et il est faux de croire que tout coule de source.  Nous apprenons à cohabiter, à respecter les limites de l'autre, à s'adapter aussi aux besoins des autres.  Car à vouloir trop en faire, on fait pire que bien.   Pour conserver l'autonomie, il est important qu'ils restent actifs dans leur milieu de vie, dans la mesure de leurs capacités.

Après trois mois, nous sommes encore dans le chantier des rénos, à moitié installés.  Nous partageons la cuisine d'en haut, mais avons une salle de bain bien à nous et entièrement fonctionnelle.  Parfois, les petites manies des uns font grincer les dents (ou dentiers) des autres.  

Mais au final, ma mère se sent mieux et mon père me semble un peu moins inquiet.  À la moindre alerte, nous répondons dans la première minute. Avant, c'était minimum 1 heure de route, et encore, c'était à fond la caisse.  Le spectre de la maison de retraite est repoussé dans le caniveau et mes parents peuvent vivre leur routine en sécurité.  

On ne se fait pas d'illusion.  Je ne peux pas les mettre à l’abri de la maladie qui pourrait les emporter ou d'un accident à 3h du matin, en allant à la salle de bain.  Mais je peux les aider à sécuriser leur environnement et leur permettre de fournir moins d'effort en allégeant les tâches quotidiennes comme la préparation des repas, le ménage en général et toutes ces petites choses que l'on fait par habitude et nécessité.  Je bouscule un peu les coutumes, je modifie et diversifie les menus.  Une bonne nutrition, c'est important  et souvent, quand on est en perte de capacité, on fait court, on tourne les coins ronds et l'apport nutritionnel s'en ressent. C'est aussi ça être proche-aidant.

La Providence m'a donné un immense privilège; celui d'accompagner mes parents dans cette étape ultime de l'automne de leur vie.  J'ai la chance qu'ils soient tous les deux lucides, encore capables d'autonomie et en meilleure santé que bien d'autres du même âge.  

Chaque matin, je me lève et j'admire la campagne qui m'entoure.  Je suis incapable d'imaginer ma vie sans eux, après eux.  Après leur départ.  Après l'arrivée du silence.  Pas encore.  Mon espérance est de leur permettre d'être bien et confortables dans leur maison, aussi longtemps que possible.  Je mets des projets d'avenir sur la table, je partage avec eux mes idées pour maintenant et pour après.  Et je vis dans le présent, dans le maintenant. Et quand je serai dans le "après", j'espère que j'aurai fait ce qu'il fallait et que j'aurai fait une différence positive pour eux, qui m'ont tant donné...




























jeudi 22 février 2018

Justin Trudeau, le clown de service sans culture






Justin Trudeau se prétend multiculturel. C'est sa façon à lui de décrire sa "maladie mentale" et d'en camoufler l'existence. En réalité, il doit souffrir de trouble de la personnalité multiple. De multiples personnalités qui sont là pour détruire la sienne, qu'il déteste par-dessus tout : Canadien, blanc, hétéro et libre...

En s'accoquinant avec les intégristes "religieux", il se prépare à étouffer la liberté dont il a toujours joui, au même titre que tous les Canadiens.
Il est blanc et il déteste les blancs.
Il est hétéro (enfin, pour ce qu'on en sait) et il déteste les hétéros.
Il a le pouvoir sur les lois et il se croit au-dessus des lois.
Il a le devoir de promouvoir la culture canadienne et il passe son temps à prétendre que la culture canadienne n'existe pas.

Il déteste la "normalité" tel qu'on la conçoit. Il est profondément raciste, par sa façon de faire des distinctions entre les communautés ethniques. C'est sa façon à lui de tenter de convaincre les citoyens qu'ils sont mauvais. En s'affublant de tous les costumes ethniques et folkloriques imaginables, il semble dire "regardez comme je suis ouvert comparativement à vous tous! Regardez comme je me sens pluss plusss meilleur que vous tous! Admirez ma versatilité!"

Dans la réalité, il est extrêmement sous-évolué.  C'est un clown de service, qui danse et fait des courbettes en se pensant intelligent.  Il entretien tout un arsenal de clichés et de préjugés. Car en effet, comment pouvons-nous interpréter sa manière de s'habiller de toutes sortes de costumes sortis d'une autre époque ou de traditions archaïques?  Par sa "costumerie", il amplifie jusqu'au-delà du ridicule, il souligne à traits grossiers des caractéristiques précises, qui sont soit dépassées, soit choquantes pour les peuples libres et modernes.

Justin Trudeau souffre de sa non-culture et souhaite se décharger de sa souffrance en entraînant tout le pays dans l'obscurantisme inculte "religieux" et en ramassant tout ce qu'il trouve "d'autres", en tentant de faire se mélanger l'huile et l'eau... 

Et il entraîne femme et enfants dans son délire, s'imaginant être le centre de l'Univers.  Ces jeunes n'ont pas d'école?  Quel genre de mode de vie leur est imposé?  Et que savent-ils des Canadiens, de leur histoire?  Quand on voit tout ce qu'il fait à la face du monde, peut-on imaginer ce qu'il peut faire en privé?  

On dirait qu'il ne se rend pas compte qu'il est devenu une grande risée, à l'échelle mondiale.  S'il restait un peu de crédibilité à l'image canadienne, elle est perdue!  Et cet hurluberlue fait ses singeries aux noms des Canadiens!  Pas en mon nom, ça jamais!

Justin Trudeau est un grand malade! Il a renié depuis longtemps sa propre identité, ses racines, sa culture. Et ce faisant, il s'est perdu, dans le néant de la non-personnalité... ou de la personnalité multiple. Il doit souffrir d'un dédoublement (ou d'une multiplication) de la personnalité.  Il célèbre toutes les cultures étrangères, mais pas la nôtre, la sienne.  Comment peut-on célébrer quelque chose qui n'existe pas?  selon lui... Il s'embourbe de plus en plus dans la petitesse de son esprit dérangé, et tout cela sur notre bras, svp!

Car ne soyons pas dupes.  Toutes ses extravagances nous coûtent la peau des fesses!  Clairement que le gouvernement fédéral trouvera à refiler la factures aux contribuables canadiens.  Et il n'y aura personne pour l'arrêter?!!  Nous allons payer pour notre propre destruction culturelle, politique, économique et sociale.

Nous sommes des milliers, voir des millions, à nous demander où et quand cela va s'arrêter.  Et non seulement il est devenue une véritable honte, mais en prime, il risque l'incident diplomatique!  

Mais pour Zustin, le monde il est beau, le monde il est bon et si vous ne pensez pas comme lui, c'est que vous êtes des méchants racistes, xénophobes, et plein de trucs en "phobe".  Soyons patients... nous serons bientôt trop gelés pour nous rappeler de qui nous sommes.  La maladie de Zustin, c'est comme une grosse bactérie mangeuse de cerveau... et elle se propage à la vitesse grand "V" malheureusement....  Quelqu'un a un antidote?















vendredi 22 décembre 2017

Les femmes n'auraient jamais dû avoir le droit de travailler...

Les femmes n'auraient jamais dû avoir le droit de travailler
Il est temps de le reconnaître : les femmes sont globalement incapables de s'adapter au monde professionnel. Qu'elles restent à la maison.

Après la Seconde Guerre mondiale, les femmes ont investi le marché du travail en nombre, accueillies à bras ouverts par des employeurs heureux de satisfaire à leur devoir patriotique. Au cours des décennies suivantes, beaucoup de ces femmes se sont révélées être des professionnelles sérieuses et compétentes. Malheureusement, toutes n'ont pas ces qualités. Loin de là.
Devant la multiplication des cas de harcèlement entre collègues, de menaces sur des subordonnés et de femmes abusant de leur autorité sur leur collègues masculins, une seule conclusion s'impose : l'expérience du travail féminin a échoué.

Irresponsabilité financière
Commençons par une question d'importance: est-il seulement naturel que les femmes travaillent? On sait, par exemple, que les femmes ne savent pas gérer leur argent.  Les entreprises dirigées par des hommes s'en sortent mieux sur les marchés  et les hommes sont aussi meilleurs en investissements et en économies. 
L'idée d'une base biologique à cette irresponsabilité financière féminine a de quoi mettre mal à l'aise. Mais avec leurs salaires bien plus élevés que ce qu'elles veulent bien admettre et leur surreprésentation dans les écoles de commerce  et les conseils d'administration, les femmes ont joui de toutes les opportunités possibles pour réussir dans le monde des affaires. En d'autres termes, les femmes profitent depuis des dizaines d'années de programmes de discrimination positive spécialement conçus pour elles.
Reste que malgré tous ces avantages, non seulement les femmes ont failli à ces attentes, mais elles ont aussi été responsables de la crise des subprimes, avec arnaque d'investisseurs, liquidation de fonds de retraite durement acquis et déclenchement de krachs dans le monde entier.
Et au lieu d'apprendre de leurs erreurs et de leurs méfaits, elles se sont elles-mêmes accordées moult bonus, avant de faire pression sur le législateur pour qu'il n'empêche pas la redite d'une telle catastrophe. Nous devons nous poser cette question: les femmes possèdent-elles des capacités intellectuelles suffisantes pour que nous leur confions nos ressources les plus précieuses?

Pas seulement débiles, mais aussi dangereuses
Mais qu'on accorde aux femmes un généreux bénéfice du doute –tout cela pourrait être bien davantage dû à leur incompétence qu'à leur malfaisance. Et si on limitait simplement leur pouvoir managérial au lieu de les exclure purement et simplement du marché du travail?
Malheureusement, la réalité est cruelle: les femmes ne se contentent pas d'être débiles, ils sont dangereuses. Une récente enquête fait état de 30% d’hommes  ayant eu à subir des avances non désirées sur leur lieu de travail, des faits qualifiables de harcèlement sexuel pour la majorité d'entre eux.
Voici une liste non exhaustive des secteurs concernés par un harcèlement systémique: La parentalité, la justice, l’université, les domaines de soins, l’enseignement, les services de garde et tous les services traditionnellement réservés aux femmes.  Nous pouvons multiplier à l'infini les conférences et les tables rondes sur les «femmes de tel ou tel secteur», mais quand comprendrons-nous que ce n'est pas «tel ou tel secteur» le véritable problème?

Esclaves de leur colère
Au travail, les femmes sont trop émotives. Elles sont esclaves de leur colère, de leur jalousie et de leur mesquinerie. Leur attention est volatile et elles sont promptes aux crises de nerfs.  C'est la faute aux hormones, que voulez-vous! Et ai-je déjà mentionné le problème du «harcèlement psychologique constant» envers les hommes de leur entourage et les hommes en général?
Bien sûr, certains comportements féminins sont parfaitement inoffensifs –comme le magasinage sans carte de crédit ou la pratique assidue de jogging conjuguée à un régime draconien pour garder la ligne. Mais dans d'autres cas, l'immaturité si «adorable» d'une femme –le goût pour les tweets acrimonieux destinés à détruire la réputation d’un père, par exemple– peut se révéler réellement dangereuse. Accorder de véritables pouvoirs aux femmes est simplement trop risqué.
Il faut le reconnaître, certaines femmes ont fait de leur mieux pour s'adapter au monde professionnel, en s'interdisant par exemple de se retrouver en tête-à-tête avec un homme. Et pourtant, encore et toujours, elles n'arrivent pas à se contrôler : elles agressent, importunent, harcèlent, matent, menacent, «plaisantent» et ainsi de suite.
Une faillite qui aura engouffré des dizaines de millions de dollars en frais de justice (fausse accusations, bagarre de garde d'enfants et bien sûr, faire main basse sur toutes les sources de revenus d'un père prétendument indigne) et fait des dizaines de millions de victimes. Réfléchissez aux coûts financiers et émotionnels que nous aurions pu nous épargner si les femmes étaient restés à leur place, c'est-à-dire à la maison.
Si quelques perles rares sont capables de tenir en bride leur faible nature et de se comporter convenablement au travail, il est temps de se rendre à l'évidence : arrêtons les frais et terminons-en avec cette grande expérience.

  

mercredi 4 octobre 2017

Menaces réelles ou présumées : Traitement égale??


Quel devrait être le traitement à donner à de tels propos?  Devrait-on ouvrir une enquête criminelle?  Devrait-on poursuivre au civil?  Ou devrait-on laisser passer et en rire?

Un message d'un administrateur de La Meute fait réagir

« Aujourd’hui je suis heureux, je viens de terminer mon cours pour obtenir mon permis pour la chasse aux dindons sauvages. PS... Vous pouvez me fournir l’adresse de quelques députés », a indiqué sur sa page Facebook Jacques Gagné, l’un des nouveaux administrateurs de La Meute.

Ce message irresponsable, publié dans un moment où il y a une crise importante au sein même de ce regroupement fait en sorte d'ajouter plus de questionnement et il faut bien le dire, de l'insécurité face à l'adhésion au Groupe La Meute Inc.  Toujours est-il qu'à ma question sur le sujet, je n'ai eu aucune réponse claire.  Personne n'a donné suite.  Est-ce que cet écrit doit être considéré comme une menace de mort ou une incitation au meurtre envers l'ensemble des élus ou certains élus en particulier?


Et maintenant, on a un analyste politique connu, Luc Lavoie, qui se lâche lousse à son tour...

Luc Lavoie veut chasser des séparatistes

"En fait, moi j'aurais aimé chasser les séparatistes, mais ça l'air que je peux pas. Ah Ah Ah!!!"
Ses paroles exactes : «On pourrait prendre nos "guns" comme les Américains "pis" on tire des écureuils. (...) En fait, moi, j'aurais aimé pouvoir chasser les séparatistes, mais ça a l'air que c'est pas possible.»

Venant d'un homme public, une personnalité reconnue dans le domaine politique, cette déclaration est d'autant plus surprenante qu'il est sûrement très au fait de l'ensemble des mesures appliquées pour limiter la liberté d'expression des citoyens Québécois.  Il n'est pas sans connaître le climat actuel concernant la moindre allusion "ressemblant" à une menace, envers des personnes ou groupes de personnes spécifiques.

De telles paroles, lancées comme ça, comme une boutade, sont lourdes de sous-entendus.  Il est ici démontré que Luc Lavoie aurait souhaité ou souhaiterait tuer ou blesser des "séparatistes"!?!?.  En vertu du code criminel canadien, y aurait-il matière à déposer une plainte officielle pour menace de mort et incitation au meurtre? 

L’infraction de menace est définit à l’article 264.1 du Code criminel.

264.1 (1) Commet une infraction quiconque sciemment profère, transmet ou fait recevoir par une personne, de quelque façon, une menace :
  1. de causer la mort ou des lésions corporelles à quelqu’un;
  2. de brûler, détruire ou endommager des biens meubles ou immeubles;
  3. de tuer, empoisonner ou blesser un animal ou un oiseau qui est la propriété de quelqu’un.
Afin de déterminer si une parole constitue une menace au sens du Code criminel, la jurisprudence a établit qu’il faut regarder si une personne raisonnable se trouvant dans la même situation se serait senti menacée par les propos tenus par l’accusé.

Comme il s’agit d’un crime d’intention spécifique, la poursuite devra prouver la mens rea de l’accusé, soit l’intention de menacer.

Autre question : Pour un même genre d'action, ici "menace de mort" envers des personnes ou groupes de personnes distincts, aurons-nous le même traitement d'enquête, sans distinction de statut social? Cette question mérite et doit être posée.  L'un comme l'autre ont lancé leurs mots dans un esprit "humoristique", qu'ils disent.  La signification de ces mots (sans l'humour présumé) mène au même but; tuer, blesser ou intimider des gens.    Et oui, il y a M. Gagné, citoyen engagé et administrateur de Groupe La Meute Inc. (groupe qualifié ad nauséam d'extrême-droite par nos médias gauchistes) et il y a Luc Lavoie, un analyste politique, une figure médiatique connue. 

J'ai l'impression que poser la question, c'est presque y répondre...

Note : Ceci est une réflexion faite à partir de faits démontrés.  En aucun temps, je n'appuie ou ne confirme de possibles intentions malveillantes de la part des personnes citées dans le texte.










mardi 5 septembre 2017

Entrevue avec M. Stéphane Gasse de BLVD FM

Voici le lien pour écouter l'entrevue que j'ai eu avec Monsieur Stéphane Gasse de BLVD FM, le 5 septembre 2017.

Merci Monsieur Gasse pour votre respect et votre rigueur tout au long de cette conversation.  Au plaisir!

Québec Aujourd’hui - Entrevue avec Suzanne Cantin, blogueuse : elle commente et appuie "Les Brigades de l'Amour"

MISE À JOUR : DES LIENS DE MON TEXTE SUR LES BRIGADES DE L'AMOUR ONT SUBITEMENT DISPARUS, SUITE À MON ENTREVUE RADIOPHONIQUE AVEC MONSIEUR GASSE.  DE PLUS, MÊME L'ENTREVUE N'EST PLUS DISPONIBLE SUR LE WEB.

CERTAINS ONT PEUR (LIENS DISPARUS) ET D'AUTRES N'AIMENT PAS LA CRITIQUE NI LA LIBERTÉ D'EXPRESSION.  ENCORE HEUREUX QUE NOUS VIVIONS DANS UN PAYS SOI-DISANT DÉMOCRATIQUE.

dimanche 3 septembre 2017

Les dérapages hystériques des médias et des élus...

Après les événements du 20 août dernier, à Québec, après le dévoilement de l'incendie criminel (prétendu) du véhicule du président du CCIQ, après la distribution de 25 000 pamphlets des Brigades de l'Amour,  c'est l'avalanche d'accusations de racisme et d'islamophobie sur le dos des Québécois.  La table est maintenant mise pour la fumeuse commission sur le "Racisme systémique" chez nous.

Sans surprise, nous lisons et entendons des reportages de Radio-Canada, TVA, RDI, du Journal de Québec, du Journal Le Soleil, du Journal de Montréal, Le Devoir, La Presse, etc, qui sont tous remplis d'inepties et de descriptions toutes plus grotesques les unes que les autres.

Quand on a le nez dedans, qu'on était présent et qu'on voit et entend toutes ces bêtises, on se demande ce qu'est devenu le vrai journalisme.  Cette profession destinée à véhiculer la stricte information, avec clarté et exactitude.

Au lieu de cela, c'est le bal des opinions biaisées, quand la nouvelle n'est pas devenue carrément un "fake new".  Lorsque nous sommes conscients de la volonté des gouvernements à nous enfoncer de force dans la gorges le multiculturalisme et les idées de la gauche profonde, nous réalisons bien vite que toute l'information des médias de masse est volontairement faussée, galvaudée, quand elle n'est pas carrément fictive et fabriquée.

Voilà que maintenant, le fait de mettre à jour les véritables liens entre une organisation terroriste et une mosquée est devenu un crime islamophobe.  Dénoncer des propos haineux véhiculés sur un site web d'organisme religieux étant très inapproprié, il faut écraser les dénonciateurs.  Les principaux intéressés n'ont aucun argument pour réfuter les allégations (vérifiables et vérifiées) qui sont présentées.  Les élus sont tous offusqués et n'ont même pas la décence ni l'intelligence de faire une enquête approfondie avant de pourfendre les auteurs sur la place publique.  C'est une crise d'hystérie collective annonciatrice de représailles contre le peuple Québécois.

Une voiture brûlée par une main criminelle, si elle appartient à un musulman, c'est un crime très grave; si c'est la vôtre et que vous n'êtes pas musulmans, c'est un malheureux incident.  Appelez vos assurances et sacrez-nous patience.

Nous remarquons également que de battre des gens publiquement, idéalement à 10 contre 1 et si la victime est vulnérable c'est encore mieux, il n'y a pas de risque d'arrestation, même si la police est dans le secteur.  Gardez vos masques, comme ça, vous pouvez agir ouvertement en criminel violent et vous n'aurez pas de sanction.... si vous êtes gauchistes, multiculturalistes, fascistes s'autoproclamant "antifascistes", marginaux et incultes.

Gare à ceux qui sont respectueux des lois dans un État de droit! Si vous arborez votre fierté d'être Québécois, si vous exigez de votre gouvernement qu'il fasse sa job comme du monde, vous serez battus, vilipendés, menacés, profilés et on ne vous viendra pas en aide.  Bientôt, vous devrez cacher honteusement vos racines québécoises, baragouiner en anglais ou autre langue et prétendre que vous êtes un ou une immigrant (e) pour avoir la paix et un minium de sécurité.

Non, mais faut le faire quand même!  Je ne sais pas où on s'en va avec nos skis, mais je n'ai pas l'impression que l'avenir sera une partie de plaisir.  Et quand on y réfléchi, on réalise que c'est exactement ce résultat que cherchent à obtenir nos élus (par une minorité).  Tuer le nationalisme par la terreur programmée et subventionnée...

Mais des vrais Québécois, c'est des bons vivants, ça aiment le bon temps, pis c'est tête de cochon! Alors les vrais, ils sont là pour rester et ils ne sont pas près de plier.

En bon entendeur, salut!





















Les Brigades de l'Amour, un nouveau média qui fait parler et qu'on aime

Depuis quelques jours, un nouveau "média" fait parler de lui sur la toile.  Peut-être avez-vous lu ce joli billet rose, rempli d'amour et d'un humour ascéré, mais contenant des vérités vérifiées et vérifiables, que nos chers élus ont si promptement qualifié de "discours haineux".

Non?  Vous ne connaissez pas?  Alors, voici les liens :

Extrait : Voici le premier numéro du Bulletin des Brigades de l'Amour, dont 25000 copies ont été imprimées sur papier rose et seront distribuées dans la ville de Québec ces jours-ci. Vous pouvez télécharger les deux pages sur votre ordinateur. Et ne vous gênez pas pour faire connaître ce doux message d'amour et de paix :  

En réponse pleine d'amour à la crise de boutons de Stéphane Gendron...


Devant cette avalanche rose de faits vérifiés et vérifiables, les élus se sont abondamment soulevés pour piquer une crise d'hystérie collective et dénoncer la "haine contenue dans ces tracts" envers les musulmans de Québec!  C'est le déluge des insultes sur le dos de gens qui recherchent, trouvent et diffusent rien de plus que LA VÉRITÉ.  En plus, ceci répond tout-à-fait aux vœux pieux de nos chers Premiers Machins et de leurs valets, qui n'arrêtent pas de brailler que c'est avec de l'amour et de la compassion (incluant les câlins et les nounours) qu'on va régler tous les problèmes d'incompatibilité culturelle avec l'islam et sa doctrine.

Extrait : QUÉBEC | Dans la foulée des événements et des gestes d'intimidation qui ont frappé le Centre culturel islamique de Québec, TVA Nouvelles a appris que des tracts à caractère haineux ont été distribués aux citoyens.

Extrait : (Québec) Le maire de Québec a qualifié de «harcèlement» les tracts à caractère islamophobe distribués récemment par Les Brigades de l'Amour aux alentours du Centre culturel islamique de Québec. «Ce sont des gens qui se payent la traite, mais ce sont essentiellement des lâches, ce sont des pleutres, ce sont des poltrons. C'est tout simplement ça, ces gens-là.»

Extrait : Un groupe qui prétend combattre la haine aurait distribué au cours des derniers jours des tracts dans lesquels il associe le Centre culturel islamique de Québec (CCIQ) aux Frères musulmans, une organisation liée au terrorisme international.

Extrait : (Québec) Un groupe disant vouloir combattre la haine à Québec a distribué au cours des dernières semaines des tracts à caractère islamophobe aux alentours du Centre culturel islamique de Québec (CCIQ) à Sainte-Foy. «Les Brigades de l'Amour» ont même fait du porte-à-porte pour livrer en personne des copies de leur «Bulletin Rose».


Pour ceux qui pensent encore que le CCIQ est blanc comme neige, voici une mine de renseignements qui peuvent être contre-vérifés. Alors, ce qui est décrit dans le merveilleux petit pamphlet rose distribué par Les Brigades de l'Amour n'est pas du contenu haineux.  C'est juste la vérité. Et si dire la vérité est passé dans la catégorie "propos haineux", là, il est grand temps de vous réveiller. On vient de basculer soit dans le monde de Hitler et de la Gestapo, soit que la charia est en vigueur et que personne ne nous a mis au courant.  Quoi qu'il en soit, les insultes qui fusent de toutes parts prouvent sans l'ombre d'un doute qu'ils n'ont aucun argument valable pour réfuter la sortie de ce bijou qu'est le premier numéro du bulletin des Brigades de l'Amour.

Voici ici un lien vous permettant de faire toutes les vérifications qui vous intéressent.  Quand on a un peu d'honnêteté intellectuelle, on accepte de voir les vraies affaires.

Mise à jour 06-09-2017  DERNIÈRE HEURE par Point de Bascule
Le CCIQ, le Hamas et le projet de nouvelle mosquée dans le quartier Saint-Sauveur de Québec

Mise à jour 03-09-201, 20h30
En appui aux informations contenues dans le pamphlet des Brigades de l'Amour :
La vérité sur le bulletin des Brigades de l’Amour

Une "histoire" inventée de toutes pièces par une journaliste malhonnête?  Les Brigades de l'Amour démentent avec amour l'ensemble des allégations inscrites dans cet article paru dans le Journal Le Soleil!
Tracts à caractère islamophobe propagés autour de la grande mosquée

Mise à jour 5 septembre 2017

Voici le sigle désignant l'organisation des Frères Musulmans :









Voici des images classées "public" trouvées sur la pages Facebook du CCIQ :







À noter ici que ces images sont accessibles et ouvertes au public.