vendredi 2 octobre 2015

La voix du peuple...

Suite à la lecture d'un excellent texte du blogueur Mathieu Bock-Côté, voici d'abord le lien de ce texte et mon commentaire général :


"...on ne parlait que des droits des immigrants, mais rarement de leurs devoirs."  Dans ce débat en particulier, il est tout là le problème.  Ces gens qui arrivent d'ailleurs, toutes les formes de minorités viennent tous brailler qu'ils ont des droits.  Mais qu'en est-il de leurs obligations?  En tant que Québécoise, j'ai des droits qu'on vient tenter de me retirer au profit des immigrés qui ne s'intègrent pas.  Juste pour mon passeport, ce fut tout un cirque!  Pas de lunettes, pas boucles d'oreilles, pas de barrettes dans les cheveux, pas de maquillage aux yeux ni aux lèvres, pas de sourire, pas de dents apparentes...  Voilà pourquoi nous sommes contre les faces cachées, partout ailleurs que dans leur demeure. Si c'est obligatoire pour moi, c'est obligatoire pour TOUT LE MONDE, y compris les nouveaux arrivants enrubannés et disgracieux, qui insultent copieusement leur pays d'acceuil.  Si je ne peux pas tenir un discours de méchanceté envers ces nouveaux arrivants, c'est pareil pour eux.  Si je ne peux pas manger d'un truc particulier, peu importe mes raisons, c'est à moi de me prendre en charge et le système en place ne changera pas pour moi (garderies, écoles, restaurants, épiceries, lois sur le traitement des produits alimentaires, etc).  J'ai l'obligation de me conformer aux lois civiles et criminelles de ma province et de mon pays.  Les crimes d'honneurs, la pédophilie "d'éducation", les mariages arrangés et forcés sont interdits et régis par des lois criminelles au Canada.  Maintenant, on menace de m'enlever le droit d'exprimer mon désaccord (loi 59) de laisser entrer une fausse religion, qui relève plutôt de la secte despotique inhumaine et malsaine dans notre pays, sous peine de représailles sévères à mon endroit, en plus de me traiter de xénophobe, d'islamophobe, de raciste, etc.  Non, il ne faut pas que ce soit le seul sujet du débat, mais même au niveau de l'économie, ça pèse lourd par l'engagement financier que les gouvernements prennent envers ces gens.  Nous ne sommes plus un peuple ni Canadien, ni Québécois, nous sommes en train de perdre complètement notre identité."

 Suite à la publication de mon commentaire, il n'a pas été long a recevoir quelques réponses abondant dans le même sens.  Mais l'une des réponses fut exactement ce que je prévoyais : "@SuzanneC47 Un belle indignation et une solide xénophobie. Intéressez-vous donc aux 15.000 Québécoises, qui bon an, mal an, sont victimes de sévices sexuels, de viols, de la part souvent de leurs conjoints ou de leurs proches. N'oublions pas les 25 a 30 meurtres... Un détail..peu ou pas de femmes avec des bouts de tissus sur la tête..."

Cette réplique venant d'un charmant uthéromme sans doute, ne présente aucun arguement pour découdre mon opinion.  Il détourne simplement le sujet pour un autre qui semble lui tenir beaucoup plus à coeur.  Il parle des femmes violentées et violées, mais évite soigneusement le sujet du blog, l'islam.  Pourtant, il devrait s'en préoccuper encore plus, puisque les femmes seront les premières victime d'un régime islamiste.  Joignant le contradictoire au désagréable vint l'insulte; "solide xénophobie"!  Ce qu'il fallait démontrer...

Une autre perle passée dans nos médias : Le débat sur le niqab exacerbe l'islamophobie, selon QS.  Mme Françoise David qui vient mettre son petit grain de sel pour suggérer d'utiliser la loi 59, qu'elle approuve tellement pour la protection accrue du féminisme radical qu'elle soutient, afin d'assujettir le peuple Québécois à l'acceptation de sa propre extinction sous peine d'accusations, de risque d'emprisonnement et d'amendes démesurées... parce que l'opinion claire d'une personne va à l'encontre des valeurs islamiques et que ces valeurs, selon Mme David, sont un droit!!!  Il est donc de bon ton de nous taire devant les massacres à ciel ouvert d'animaux dédiés à leurs rituels sanglants et cruels, où la mort lente et souffrante est de mise, le tout sous les yeux d'enfants qui n'ont plus rien d'innocents.  Et là, on ne parle même pas de l'hygiène. 

Il est de bon ton également d'effacer les affreux souvenirs de l'histoire de la famille Shafia dont les 3 filles et leur mère ont été assassinées sous le couvert d'un crime d'honneur, qui n'est sans doute qu'une erreur de parcour.  Les 2 militaires assassinés ne sont que de désagréables actes isolés.  Ce pompier ontarien égorgé par un islamiste radical (ah ben, vous n'étiez pas au courant?) était le résultat d'un malade mental profond.  Les imams de tout acabit qui tentent de se loger dans nos chaires universitaires, dans nos salles de conférences et qui étudient soigneusement notre charte canadienne et les législations gouvernementales et municipales pour imposer leurs us et coutumes, leurs mosquées, leurs demandes d'accommodements déraisonnables, ne sont que des négociateurs sans importance. 

Où sont-ils, les militants de l'imposant mais éphémère mouvement "Je suis Charlie"?  Le massacre du Charlie Hebdo est déjà passé aux oubliettes... et qu'en est-il des défenseurs de Raif Badawi?? 

Parlant de Monsieur Badawi, est-utile de rappeler ici le nom de celui qui est devenue Président de la Commission des droits de l'homme à l'ONU? Faisal bin Hassan Trad Le Canada doit se retirer du Conseil des droits de l’Homme Pendant ce temps, une vidéo particulièrement répugnante circule sur le net.  On y voit la décapitation d'une femme voilée, sur la place publique, quelque part en Arabie Saoudite, sans aucune forme de procès, Voilà comment on décapite une femme en Arabie saoudite   Dire qu'ici, nous sommes incapables d'envoyer un Guy Turcotte en prison à perpette pour le meurtre prémédité et d'une cruauté sans nom de ses 2 enfants!  Croire que laisser circuler librement les adeptes de l'islam chez nous ne nous met pas en danger relève de la fiction ou d'une profonde croyance au Père Noël !  Tiens, même Noël doit être condamné aux yeux de l'islam.  En Europe, le congé de Noël n'existe plus, ça s'appelle maintenant les vacances d'hiver! Pour tout le monde, ça semble bien loin de chez nous.  Dans la réalité, tous ces problèmes sont à nos portes et nos décideurs sont en train de choisir de faire la sourde oreille et d'étouffer la voix du peuple.  Cette voix parfois forte, parfois silencieuse, qui leur fait sentir un grand malaise, auquel ils ne veulent pas faire face.  Non, vaut mieux en effet, se "voiler la face"...

Se tenir debout et affirmer que l'islam et sa théocratie barbare n'ont pas leur place au Québec (ni au Canada), c'est de l'islamophobie à ce qu'il paraît.  Mais dans les hautes sphères gouvernementales et dans les salons des bien-pensants, des multiculturalistes et des "grands"  illuminés du partage des cultures, refuser de s'ouvrir à un culte de la mort relève de l'islamophobie et la xénophobie et ce sont des crimes!  Et on nous serinent, à l'aide des médias dûment sensurés, que l'islam est une "richesse" de culture à découvrir et que notre crainte, pour ne pas dire "terreur" de voir débarquer ces pachibouzoukes enguenillés débarquer chez nous avec leur Charia suprême est dûe à notre ignorance crasse. 

Si nous prenons le pouls de la population, je dirais que nous sommes au moins 80% (sinon plus) à être des criminels bassement ignorants et intolérants.  Quoi qu'on en dise, quoi qu'on fasse, l'islam, la doctrine de l'islam n'a pas sa place en occident, où la liberté d'être est une priorité. Dès l'instant où ils obtiendront le droit de faire ce qu'ils veulent, c'en sera terminé de tous les aquis pour lesquelles hommes et femmes se sont battus depuis les soixante ou soixante-dix dernières années. Le visage voilé n'est que le prétexte et la première porte d'entrée à une vision arriérée de la vie. Je veux la liberté et la sécurité pour mes enfants et pour mes petits enfants. L'acceptation de l'islam signifiera l'éradication, la mort lente de toute une société libre, qui finira par devenir prisonnière des rigoristes religieux dangereux et destructeurs que sont ces imams islamiques.  

Après tous ces efforts pour nous défaire de la prison religieuse qu'était le catholicisme, par respect pour ces femmes et ces hommes qui ont oeuvré pour libérer les générations suivantes du joug religieux enlisant et dégradant, il est temps d'en finir et de fermer définitivement les portes à l'invasion islamiste.  Ici, c'est l'Occident libre et je souhaite profondément que l'Occident ne devienne jamais un autre Moyen-Orient.










jeudi 1 octobre 2015

"Je me suis sentie comme violée"

Aujourd'hui, je suis tombée par hasard sur cet article, dramatiquement titré "JE ME SUIS SENTIE COMME VIOLÉE"


J'ai lu l'article, car j'ai quand même à coeur la détresse des gens et que, comme la majorité du monde, je dois sans doute apprécier les nouvelles morbides dont nous gavent les médias.

Selon les alléguations de  Mme Salehabadi-Fouques, elle a été embrassée contre son gré par Monsieur Aubut.  Possible, sans doute vrai.  Cet homme, celui-ci, pas les milliers d'autres qui n'ont rien à voir dans cette histoire, celui-ci semble avoir mis les pieds dans les plats et s'y être enfoncé jusqu'aux oreilles.

Je suis totalement d'accord que ces comportements qui lui sont reprochés sont inacceptables et doivent être réprimés, réprimendés et qu'à répétition, c'est punissable sous le code criminel du pays.  Malgré que la majorité des hommes qui nous entourent savent se tenir, certains s'échappent de l'ensemble et ont le chic pour se démarquer par leur grossièreté et leur imbécilité.  Qu'il assume ses gestes et réponde de ses actes.

Quiconque qui subit ce genre de comportement a le droit d'exiger le respect de sa personne.  Cela va de soi.  Ceci est valable pour les femmes ET pour les hommes.  Mais à un moment donné, il faut utiliser les vrais mots et ne pas en rajouter.

"JE ME SUIS SENTIE COMME VIOLÉE"... Euh..., c'est quoi "se sentir comme violée"?  C'est quoi la différence entre "comme violée" et "être violée"?  Pour se sentir "comme violée", il faudrait déjà avoir connu cette sensation.  Assurément que cette femme se serait aussi sentie "comme violée", si le mec lui avait porté la main aux fesses.  Est-elle aussi du genre à hurler à l'agression sous les sifflets effrontés de certains hommes, qui quoi que manquant de savoir-vivre, n'auront eu d'autres torts que ceux d'exprimer cavalièrement leur inspiration du moment?

À force d'utiliser les mots violée, viol, agression à toutes les sauces, ce genre de demoiselle ne fait que banaliser le vrai viol, celui qui détruit, qui met la honte (qui n'a pas raison d'être) dans le coeur et l'âme.  Le vrai viol déforme toutes les relations à venir, apporte des cauchemars toutes les nuits, laisse des traces profondes de dégoût de soi et de l'autre.  Le vrai viol tue l'innocence, la légèreté et la confiance.  Le vrai viol laisse une mémoire imprégnée dans la mémoire.  Ceux et celles qui ont vécu le "vrai viol" peuvent peut-être expliquer comment on peut "se sentir violé (e)".  Et ce n'est pas un baisé volé contre son gré qui crée cette sensation.

Personnellement, je lui aurais collé une baffe retentissante devant tout le monde, pour lui foutre la honte en public.  Rien n'empêche de déposer une plainte officielle, car comme je le précisais, ce genre de comportement doit être rejeté et s'il est répétitif, il doit être sanctionné.  Mais honnêtement, ce gros titre a simplement servi à attirer l'attention sur le méchant patriarcat de pouvoir, dont l'unique utilité semble être (encore) à harceler une pauvre femme sans défense et revancharde.