mercredi 8 février 2017

La DPJ, un organisme à démanteler...

2 enfants âgés de 9 et 11 ans, témoins de la sexualité débridée de leur mère et de son conjoint des 5 dernières années. Le garçon aura été abusé sexuellement par l'homme depuis plus d'une année avant que l'histoire ne soit dévoilée... parce que le petit tentait de reproduire les actions de sa mère et de son conjoint sur une fillette de son âge, qui l'a dénoncé.

La DPJ, la police, les avocats et les juges ont décidé de faire fi de la plainte du père des enfants et de sa demande d'obtenir la garde complète, pour leur meilleur intérêt.  Les enfants ont été laissés à la mère, qui n'a même pas été inquiétée d'une enquête criminelle, malgré des actes de grossière indécence, de corruption d'enfants, d'exhibitionnisme, de mise en danger d'autrui et de non-assistance à une personne en danger.  Pas de soins psychologiques et un rapport de sexologue qui prétend qu'il est normal que des enfants aient des expériences sexuelles... à 12 ans, suite à une ultime tentative d'agression sexuelle par le garçon, alors âgé de 12 ans!  Sans oublier que selon l'enquêteur, "une mère NE PEUT PAS être accusée de ce genre de crime, elle est une VICTIME!"
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Un enfant de 5 ans, maltraité par sa mère.  La DPJ sort l'enfant du milieu familial et prévient le père.  Celui-ci a eu moins de 12 heures pour prendre les dispositions légales nécessaires pour obtenir la garde de l'enfant. Notons ici que les 2 frères aînés de l'enfant étaient déjà sous la garde complète du père, qui était parfaitement apte à prendre le troisième.

La DPJ a usurpé les droits du père, le dossier a été mené rondement et au final, le père n'a jamais pu récupérer son bébé.  La DPJ a ordonné l'adoption de l'enfant par la famille d’accueil qui en avait la garde temporaire, sous prétexte que le père "n'était pas significatif" pour l'enfant.
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Dans ces 2 dossiers, le parent rejeté (le père) n'a pas eu voix au chapitre, a été habilement évincé et ni les droits du père, ni les droits des enfants n'ont été respectés.  La documentation existe en preuve.


"Le rôle du Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) est depuis plusieurs années contesté par nombre de parents et d’associations de citoyens.  Du nombre, L’Association pour le respect des droits des enfants, des parents et des grands-parents du Québec (ARDEPGPQ) estime qu’on assiste parfois à un véritable « kidnapping d’enfants »."


"Quand un enfant est battu devant une travailleuse sociale et qu’encore une triste fois, personne ne fait rien… Quand une travailleuse sociale est même assommée par la mère de l’enfant mais qu’on ne retire pas ce petit martyr de cet environnement dangereux, c’est criminel.
Et que dire lorsque suite à ces crimes, le travailleur social ne revient pas pendant deux années… par peur… Croyez-vous que l’enfant, lui, n’avait pas peur? Pensez-vous que cette petite personne innocente et sans défense est en sécurité? Moi je confirme que NON."

"Une décision rendue par la juge Marie-Josée Ménard en octobre 2016, mais qui vient d'être rendue publique, met en lumière les mauvais traitements qu'ont subis deux enfants au sein d'une famille d'accueil et les dérapages de la Direction de la protection de la jeunesse. Une situation qui suscite de nombreuses réactions."
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Et ce ne sont que quelques "petits" exemples des horreurs de la DPJ et de sa mission de destruction des familles.  Est-ce que cet organisme devrait être démantelé? Absolument!  Depuis longtemps, il a été démontré que la DPJ fait beaucoup plus de mal que de bien.  Le principe du "meilleur intérêt de l'enfant" n'est pas respecté tout comme leur propre code d'éthique et le code de lois.  Un dossier particulièrement étoffé démontre sans l'ombre d'un doute que plusieurs travailleurs et travailleuses sociaux n'ont aucun scrupule à laisser des enfants dans un milieu malsain, dans le but de favoriser soit une idéologie (ex. : le féminisme inconditionnel), soit de bénéficier de quelconques privilèges connus d'eux seuls.


"Mario Roy est le fondateur du Centre d'entraide familial l'Unité, basé sur la route Caya à Wickham, et a lui-même été confronté à la DPJ. «C'est en faisant des recherches sur Internet que j'ai vu que beaucoup de gens se plaignaient des mêmes choses que moi. C'est pour ça que j'ai décidé de lancer l'organisme. C'est fou ce qu'on entend. C'est insensé. Il y a un besoin criant ici.»

Non seulement les besoins sont criants, mais ce n'est pas que dans la région Mauricie-Centre-du-Québec, c'est partout dans la province.  Étant très impliqué dans le domaine, Monsieur Mario Roy en connaît un rayon sur les manigances de la DPJ.

Et pendant que des associations se forment pour obliger la DPJ a respecter les droits des parents et des enfants, la CAQ elle, demande que la DPJ obtienne plus de pouvoir.


« Les députés Jean-François Roberge et Sébastien Schneeberger ont demandé à l'Assemblée nationale mercredi de profiter du projet de loi 99, qui modifiera la Loi sur la protection de la jeunesse, pour donner des armes supplémentaires à la DPJ. Celle-ci pourrait s'assurer que tous les petits Québécois fréquentent l'école (ce que ne vérifie pas en ce moment le ministère de l'Éducation), et mieux enquêter sur les cas de négligence éducationnelle. »

Pourtant, avant même que la CAQ fasse cette demande, Monsieur Schneeberger était parfaitement au fait des situations très sérieuses concernant la DPJ de sa région.  Malgré des allégations de collusions et d'irrégularités, qui auraient dû le rendre plus prudent, il est quant même aller de l'avant avec cette requête.  L'aveuglement volontaire serait-il une fois de plus à l'oeuvre?  Ou certains pouvoirs sont-ils si imposants qu'il devient impossible de faire la lumière dans ces dossiers?

La nomination d'un ombudsman, mandaté pour surveiller de près les décisions de la DPJ, dans l'intérêt supérieur de l'enfant devient un besoin prioritaire.  Mais avant même d'arriver à ce palier d'action, un ménage complet se doit d'être effectué dans la chaumière.  Doit-on démanteler cette maison des horreurs ou la réformer?  L'un dans l'autre, comme le dit si bien Monsieur Mario Roy, «Il est temps que ça change».


Suzanne Cantin




Menaces de M. Philippe Couillard contre l'ensemble des Québécois...

Si j'écris sur mon mur facebook et/ou autres réseaux sociaux que : "les musulmans qui disent n'importe quoi contre la société d'accueil sont watchés.  Et si vous continuez de vous en prendre aux Québécois et à leur culture et que vous vous faites ramasser, vous l'aurez bien mérité." Que croyons-nous qu’il m’arriverait??  (Notez ici que c'est un exemple et non une affirmation de ma part)

La police débarquerait sur un chaud temps sur mon perron, c’est clair!  J’aurais des accusations criminelles et je risquerais fort de me retrouver avec un casier judiciaire.


Maintenant, voyons les paroles que M. Philippe Couillard a prononcé lors de son passage à l’émission « Tout le monde en parle » :

 «Les gens sur les réseaux sociaux qui envoient des conneries haineuses, ils sont surveillés. Si vous continuez, vous aurez un casier judiciaire, et vous l’aurez pour toute votre vie et vous l’aurez bien mérité.»

Source : 11 citations à retenir du passage de Philippe Couillard à Tout le monde en parle




Mettons que le message du premier ministre et mon exemple sont pas mal semblables.

Par ses paroles, est-ce que le premier ministre s’est rendu coupable d’intimidation face à l’ensemble des Québécoises et des Québécois?

Est-ce que le premier ministre du Québec pourrait se retrouver avec des milliers de plaintes au criminel pour avoir proféré de telles paroles à l'encontre de l'ensemble des citoyens Québécois?

Est-ce que dans son rôle de premier ministre du Québec, ce type de commentaire est acceptable?  Parce qu'il est premier ministre, est-ce plus acceptable que si c'est Pierre-Jean-Jacques qui dit ou écrit ces mêmes paroles?

Depuis la tragédie de la mosquée de Québec, on dirait que nos élus se croient tout permis à l’encontre des citoyens qui voient d’un mauvais œil leur applaventrisme dégoûtant devant une idéologie prétendument religieuse.  D’innombrables articles relatant leur « bons mots » sur la tolérance, le vivre-ensemble, les méchants racistes nationalistes, les radios-poubelles incitatrices aux mauvais sentiments, etc. etc. etc.

Peuple Québécois, soyons tous solidaires d’une grande honte devant l’horrible crime commis sans aucun doute en Notre nom!  Un type dérangé se serait porté volontaire pour nous tous, pour bien démontrer comme nous sommes dangereux, racistes, xénophobes, islamophobes….

COMME SI CET IMBÉCILE AVAIT VRAIMENT ÉTÉ MANDATÉ PAR LES QUÉBÉCOIS NON-MUSULMANS POUR PERPÉTRER SON CRIME!  NON MAIS Y’EN A MARRE!!!

La Loi sur l’instruction publique définit l’intimidation ainsi : « Tout comportement, parole, acte ou geste délibéré ou non à caractère répétitif, exprimé directement ou indirectement, y compris dans le cyberespace, dans un contexte caractérisé par l’inégalité des rapports de force entre les personnes concernées, ayant pour effet d’engendrer des sentiments de détresse et de léser, blesser, opprimer ou ostraciser. » (art. 13, paragr. 1.1)


Tiens, une autre idée d'imbéciles heureux : 

"La Commission scolaire demande aux transporteurs de «prendre des mesures pour informer vos conducteurs que seuls les postes de radio musicaux sont autorisés dans les véhicules scolaires» lorsqu’ils sont en présence des élèves puisque «les messages» qui sont véhiculés par des radios d’opinion «ne sont pas appropriés pour des enfants et ne correspondent pas aux valeurs que nous voulons leur transmettre»"



Et je ne m'étendrai pas sur les funérailles nationales.... alors que nos 6 Québécois assassinés lors de l'attentat terroriste au Burkina Faso ont dus s'enterrer eux-mêmes! 


Eux, ils n'ont pas eu de funérailles nationales.  Ils ont juste le rapatriement des corps.  Les familles endeuillées ont-elles été "dédommagées"???  Rien ne l'indique en tout cas.

Mais comme nous sommes tous des idiots utiles, il y aura quelques cimetières musulmans en création dans les prochains mois (Québec et Sherbrooke se sont garochés pour ça).  Et un beau 50.000$ pigés dans les fonds municipaux (c'est vos taxes ça, citoyens de Québec) pour "soutenir la communauté" durement éprouvée. 


Si les victimes de cette tuerie avaient été Québécoise, qu'aurait dit notre PM Couillard? Qu'aurait dit notre PM Trudeau?  Et qu'auraient fait nos pantins des grosses mairies? 

Bah! C'est pas importants, c'aurait été juste des Québécois de souche blancs, cathos et pas payants pour les votes LIBÉRAUX!

Suzanne Cantin