jeudi 27 juillet 2017

Peut-on nous débarrasser du financement religieux imposé?

Mettre fin aux financements « religieux », est-ce possible?

Quand on prend le temps de vérifier les symboles de certifications religieuses sur les emballages de nos produits d’épicerie, on réalise rapidement que les certifications casher ont littéralement envahi le marché alimentaire Québécois, Canadien et d’importation.  Lentement mais sûrement, la certification halal s’introduit insidieusement de la même façon dans nos paniers d’épicerie, sans qu’on y prenne trop garde.  Et tout ce cirque de ferveur religieuse s’étend également dans les chaînes de restauration, sans qu’il y ait quelque affichage que ce soit.  Avez-vous déjà vu une enseigne à l’entrée d’un restaurant, annonçant spécifiquement que tous les aliments sont certifiés casher ou halal?  Si oui, je veux des photos svp!
Qu’en est-il de ces certifications?  Combien cela coûte-t-il aux consommateurs qui n’adhèrent pas à la croyance pour laquelle ils payent, contre leur volonté?

Mai 2012
EXTRAIT :
Produire halal: combien ça coûte?
Chez Olymel on nie catégoriquement que la religion soit utilisée comme critère d’embauche à Saint-Damase. On admet tout de même payer «les coûts associés à la certification» et que les employés qui appliquent les critères permettant la certification halal sont «payés par nous (Olymel), probablement», explique le porte-parole qui n’a pas précisé combien d’argent était remis à l’association musulmaneIl a toutefois admis verser chaque année «plusieurs milliers de dollars», de l’argent recueilli par les dirigeants de la Mosquée Abou Bakr Essedik, rue Jean-Talon à Montréal.

L’Association de viandes halal est née en décembre 2002 pour faire contrepoids à l'imam controversé Said Jaziri, expulsé du Canada en 2007 en raison de son statut illégal. «Il voulait imposer de payer 50 cents la livre pour marquer son tampon halal, même si c’était pas halal. [...] Donc on a créé l’Association pour permettre de faire la traçabilité de la viande», explique M. Aouchiche, aussi propriétaire de la boucherie Tassili, à Montréal.
Depuis mai dernier, l'organisme relève de la mosquée Abou Bakr Essedik dirigée par l'imam Mohamed Habib Marzougui. «Nous avons le contrôle de la majorité du marché du poulet au Québec», déclare l'imam, qui collecte des contributions annuelles et mensuelles aux abattoirs certifiés.
FIN DE L’EXTRAIT.
Ici, on parle de viande.  Comprenons que le financement religieux contrôle au moins 80% de tout ce que l’on achète en épicerie.  Les logos religieux, les principaux étant le casher pullulent et les logos halal prennent de l’ampleur sous notre nez, sans que personne ne s’y oppose vraiment.
Voici les principaux logos apposés sur les emballages et contenants sous certifications :

CASHER



HALAL


Internet est une excellente source d’information pour tous les types de logos.  N’hésitez pas à y faire des recherches.

Le financement « religieux » imposé, est-ce légal?

Techniquement, oui... mais....

EXTRAIT DE LA CHARTE QUÉBÉCOISE DES DROITS ET LIBERTÉS :
-Toute personne est titulaire des libertés fondamentales telles la liberté de conscience, la liberté de religion, la liberté d’opinion, la liberté d’expression, la liberté de réunion pacifique et la liberté d’association.
1975, c. 6, a. 3.

-Toute personne a droit au respect de sa vie privée.
1975, c. 6, a. 5.

-Les libertés et droits fondamentaux s’exercent dans le respect des valeurs démocratiques, de l’ordre public et du bien-être général des citoyens du Québec.
La loi peut, à cet égard, en fixer la portée et en aménager l’exercice.
1982, c. 61, a. 2.
FIN DE L’EXTRAIT.

Si nous avons expressément droit à la liberté de religion, est-ce que l’imposition d’une taxe religieuse respecte ce droit envers la population en général, qui n’adhère pas à l’une ou l’autre de ces croyances?
Si nous avons expressément droit à la liberté d’association, l’imposition d’une taxe religieuse respecte-t-elle ce droit si nous ne faisons pas partie d’une telle communauté?
Le respect de la vie privée.  Si la religion doit relever de la sphère privée, comprenons que l’imposition de la taxe religieuse ne respecte aucunement ce droit d’un choix personnel et privé.
Dans une société qui prône le respect des valeurs démocratiques, il va de soi qu’il est anti-démocratique d’imposer le financement de croyances par des non-adhérents à cette idéologie.  Vous n’iriez pas offrir du financement à un organisme qui prône des aides ou des valeurs qui ne correspondent pas aux vôtres.  Il en va de même pour les religions, doctrines et croyances.

Peut-on inverser la vapeur?

Un ami FB a fait certaines suggestions qui valent vraiment la peine d’être étudiées et pourquoi pas, mise en œuvre.
Il est temps de mettre un terme aux certifications "religieuses".  Faisons un mouvement de masse, en continu et unissons-nous dans l'action pour contraindre l'élimination des taxes casher et halal. Ce n'est pas à la population de payer pour entretenir des croyances appartenant à d'autres.  Voici donc ses suggestions :
-La prochaine fois que vous allez faire votre épicerie, au lieu de laisser la caissière scanner vos objets, scannez-les vous-mêmes.
Avant qu'elle les passe au cash-compteur BIP! passez-les au compteur-du-consommateur... ''Oups, celui-là dit ''halal''. C'est pour les musulmans et je n'en suis pas une''. Rejet. (À remettre sur les étalages, aux frais du marchand).
''Oups, celui-là dicte que c'est pour les Juifs. Je n'en suis pas une'' Rejet. (À remettre sur les étalages, aux frais du marchand).
''S'il-vous-plait! Je viens de me rendre compte que ce produit, (une fois tabulé) est destiné à une communauté religieuse autre que la mienne/à laquelle je n'appartiens pas, pourriez-vous le retrancher et l'effacer de ma note, s'il-vous plait?'' Rejet (Retour à l’étalage aux frais du marchand).
Soyez certains que si  tous nos épiciers de marché, jour après jour, voyaient leurs clientèles rejeter *en masse* leurs produits-portant-estampes-religieuses et qu'au lieu d'une facture de 217$ on achetait pour 32$ de fruits et de légumes cultivés chez nous sans aucune prière, CA NE SERAIT PAS LONG QUE TOUT CE FINANCEMENT RELIGIEUX IMPOSÉ PAR LA MINORITÉ DISPARAÏTRAIT DES GRANDES SURFACES DE NOS SUPERMACHÉS ET DE NOS VIES!
En regard des fruits et légumes, il faut maintenant y porter attention également.  Certains producteurs Québécois sont maintenant certifiés halal.  De plus, l’agriculture religieuse prend de l’expansion et est encouragée par les gouvernements, qui y voient des sources de revenus supplémentaires.

EXTRAIT :
À l’heure où certaines personnes s’inquiètent de la “disparition” de nos terres aux mains d’investisseurs étrangers, voilà que se dresse une nouvelle opportunité pour de la culture et de l’élevage à petite échelle reliés aux besoins des différentes communautés culturelles qui composent le nouveau Québec du XXIè siècle. Terminé le Québec homogène “blanc” et d’origine “chrétienne”. Je dirais même plus: bon débarras! La nouvelle diversité au sein de la population québécoise nous ouvre la porte de nouveaux marchés chez nous sans avoir à exporter les produits à des années lumières de distance.
FIN DE L’EXTRAIT.

EXTRAIT :
Le bleuet étant un incontournable de notre production agricole régionale, il n’en fallait pas moins pour que le directeur omniscient des ventes de bleuets, Tim Dohan, pousse les producteurs régionaux qu’il tient sous son aile à la prostitution religieuse et étrangère.
Deux entreprises de Dolbeau-Mistassini ; Bleuet Nordic inc. et Bleuets Mistassini Ltée. Sont certifiées à la fois par les rabbins et par les imams montréalais.
FIN DE L’EXTRAIT.

C’est l’argent et le profit qui mènent les marchands.  S’ils ne trouvent pas leur compte en faisant des courbettes doctrinaires, ils finiront bien par les faire retirer.

Le financement religieux sera alors relégué là où il doit être; directement aux adhérents de ces communautés.  C’est à eux de s’organiser pour avoir leurs petites échoppes spécialisées en prières et bénédictions.  Les non-croyants n’ont pas à payer pour les croyances des minorités.  La dictature religieuse n’a pas sa place chez nous.  Du reste, pourquoi ne pas faire comme les catholiques l’ont toujours fait; bénir la nourriture lors du repas, dans le privé de sa demeure, simplement.

Si des millions de consommateurs s’y mettent, ce seront des milliards de pertes pour le financement religieux auquel vous n’adhérez pas.  Un financement, qui actuellement semble inoffensif, mais qui plus tard, sonnera le glas de notre liberté si chèrement acquise et qui depuis, nous semble immuable.
Merci Martin M. pour votre inspiration.

AUTRES LIENS D’INFORMATION :
http://www.postedeveille.ca/2012/04/quebec-mangez-halal-financez-le-djihad-.html Très complet en infos.
Ce que personne ne dit à propos du halal
Le casher est-il comparable au halal?  À retenir; le halal et ses étalages en épicerie est l'introduction des règles de la charia à l'intérieur de notre politique démocratique... Faites vos propres déductions.
Le halal finance le terrorisme

Mise à jour 27-07-2017 :


J'ai trouvé ce texte de Mme Lise Ravary.  Intéressant comme point de vu, mais avec les commentaires encore plus intéressants.  °

 http://www.journaldemontreal.com/2013/02/16/lestie-de-taxe-cachere